Biographie
L’homme
1875 |
Naissance de Cappiello à Livourne (Italie). Son père est liquidateur maritime. | |
1886 à 1892 |
Premières peintures. | |
1897 |
Printemps : Cappiello arrive à Paris où il vient voir son frère qui travaille à la bourse. Bref retour à Livourne pour la mort de son père. Juin : retour à Paris où il s’installe définitivement. | |
1896 à 1905 |
Période des caricatures. | |
1900 |
En novembre il signe son premier contrat avec l’imprimeur-éditeur P. Vercasson, qui marque le début de sa carrière d’affichiste. | |
1901 |
Mariage avec Suzanne Meyer, belle-sœur de Lucien Mühlfeld (critique littéraire) et de Paul Adam (écrivain). Il aura deux enfants. | |
1899 à 1942
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Période des affiches. | |
1902 à 1913 |
Il travaille pour l’éditeur Vercasson. | |
1914 |
Il reçoit la Légion d’honneur. | |
1914 à 1918 |
Rappelé par l’Italie pendant la guerre comme interprète au Service de l’information. Il lui reste un peu de temps pour participer à des journées caritatives en faveur des blessés de guerre, publier des caricatures satiriques contre les allemands et faire quelques affiches. | |
1919
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Après l’armistice de 1918 il rejoint l’éditeur Devambez avec lequel il travaillera jusqu’en 1936. | |
1921 |
Il est promu officier de la Légion d’Honneur. | |
1928
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Commandeur de la Légion d’Honneur. | |
1930
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Il prend la nationalité française. | |
1941 |
Malade, il se retire à Grasse, chez sa belle-sœur, Mme Lucien Mühlfeld. | |
1942
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Mort de Cappiello à Cannes à la suite d’un dîner en compagnie de son ami André Rouveyre. Il laisse dans les mémoires, un homme indulgent, trés sympathique, qui incarnait la séduction italienne, avec une certaine réserve qui lui communiquait une évidente noblesse. |
L’immigrant
» Paris, la ville où l’on pense le plus, où l’on travaille le plus…
C’était, je crois, au mois d’avril ou de mai 1897, que j’arrivai à Paris le jour où l’incendie du Bazar de la Charité plongeait dans la consternation la ville entière. Dans la rue, les visages s’interrogeaient épouvantés, et cela faisait un contraste frappant avec la splendeur de cette radieuse journée de printemps.
J’étais venu passer un mois en touriste, en amateur. J’y suis resté trente-cinq ans. Cela, semble-t-il, suffirait à exprimer l’emprise que Paris a eu sur moi. Bien que l’on éprouve toujours une certaine pudeur à extérioriser des sentiments intimes et profonds, je confesse, puisque vous le désirez, que j’aime la France comme un amoureux aime sa bien-aimée. Je l’aime pour sa beauté, pour son esprit, pour son harmonie et sa générosité. Je l’aime pour son grand amour de l’Art. je ne crois pas qu’il y ait un pays au monde où un artiste soit accueilli, apprécié, encouragé comme en France – et en écrivant ces quelques lignes, j’évoque un des plus doux, des plus émouvants souvenirs de ma vie : l’accueil affectueux que j’ai reçu de tous les camarades qui étaient les artistes les plus illustres de l’époque, et l’amitié qui nous a liés depuis.
J’avais 21 ans et j’étais fou de toutes les beautés que je découvrais. Paris offrait trop de sujets au touriste que j’étais pour que l’artiste n’en use et n’en profite. Séduit par le charme indéfinissable et spirituel des parisiennes, je me passionnais à l’écrire dans des dessins synthétiques. Je les montrai à des amis qui me conseillèrent de les publier. Je les portai au Rire qui les fit paraître de suite. La Revue Blanche me demanda alors un album sur les actrices. Marcel Prévost en fit la préface. Vous devinez ma joie ! Les critiques et les chroniqueurs lui firent un accueil inoubliable.
Henri Letellier, alors directeur du Journal, me demanda une collaboration régulière tous les dimanches, et à ce sujet je me souviens d’un charmant déjeuner chez Larue, où le grand Caran d’Ache, avec sa gentillesse habituelle, voulait persuader le petit dessinateur que j’étais d’accepter cette collaboration, ce que par timidité, je n’osais.
Cela se passait en 99. Après Le Journal, Le Figaro, les affiches, etc., etc., et partout la même cordialité, la même simplicité.
Les dons les moindres (NDLR : les dons les plus petits), dans quelque branche de l’activité humaine que ce soit, sont, en France, développés, multipliés. Par l’amour et le goût qu’elle a de cette création constante de la pensée, un cerveau ne reste jamais sans évoluer, sans grandir.
Le monde entier subit son rayonnement lumineux et son influence au point que chaque manifestation du génie humain vient chercher chez elle en quelque sorte une sanction spirituelle.
Elle éclaire, elle sait ne jamais aveugler.
Si l’on me demande quelle est la part de Paris dans l’impression que j’ai eu de la France, je répondrai : Paris m’est apparu tout de suite comme le lieu où les élites se donnent rendez-vous et dont les échanges font son esprit profond et exceptionnel. Cadre le plus proportionné, le plus somptueux, et en même temps le plus intime, c’est la ville où l’on pense le plus et où l’on travaille le plus.
Peut-on ne pas être ému par sa beauté toutes les fois que de la Bastille à l’Etoile on suit cette marche triomphale ? »
L’œuvre
1886 |
Premières peintures : un portrait d’homme et un autre de femme (non localisés).
Il poursuit sa scolarité à Livourne; ses cahiers d’écolier sont remplis de croquis.
Il commence à copier des gravures anciennes. |
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1892 |
Sans fréquenter d’école des Beaux-Arts ou un atelier particulier, Cappiello connaît la plupart des peintres exerçant alors à Livourne et en Toscane.
Il expose pour la première fois à Florence une grande toile : Femme dans un intérieur (Livourne, Musée Municipal G. Fattori). |
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1896 |
Premier album de caricatures : Lanterna Magica.
Il illustre un carnet de bal (perdu). |
1898 |
Printemps : Cappiello arrive à Paris où il vient voir son frère qui travaille à la Bourse.
Bref retour à Livourne pour la mort de son père.
Juin : retour à Paris où il rencontre Puccini et l’acteur Novelli.
Juillet : parution de ses deux premières caricatures dans Le Rire : Puccini et Novelli. Début de la série Les Contemporaines dans Le Rire.
Première caricature de Réjane en couverture du Rire.
Premières caricatures dans Le Cri de Paris (Polin, Polaire…).
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1899 |
Premiers dessins dans La Rampe et dans Le Sourire.
Statuettes caricaturales : Yvette Guilbert, Jeanne Granier, Réjane.
Fin mai ou début juin : Nos Actrices, album de portraits de caractères édité par la Revue Blanche.
Première affiche pour Le Frou-Frou.
Il fait la connaissance de Toulouse-Lautrec.
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1900 |
Premiers dessins dans Le Journal (Sarah Bernhardt dans « L’Aiglon »).
Deux affiches surtout le font connaître : Le Cachou Lajaunie et Les Amandines de Provence.
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1901 |
Premiers dessins dans Le Figaro. Deux caricatures dans L’Assiette au Beurre.
Importante activité d’affichiste : Corset le Furet, Odette Dulac, La Marquisette…
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1902 |
Affiches : Rentrée de Réjane dans « La Passerelle », Louise Balthy aux Folies Bergères.
28 novembre : Gens du Monde, numéro spécial de L’Assiette au Beurre.
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1903 |
Avril : Le Théâtre de Cappiello, numéro spécial de la revue Le Théâtre.
Il crée l’affiche pour le Chocolat Klaus, véritable révolution dans l’art publicitaire, puis Katabexine, Le P’tit Jeune Homme.
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1904 |
Janvier : Les Contemporains célèbres, première série, Album publicitaire de la firme Lefèvre-Utile, illustré de 18 caricatures de Cappiello.
Cappiello abandonne presque totalement la caricature pour se consacrer essentiellement à l’affiche.
Affiches pour Le Friquet, Xéres Pedro Domecq, Nouilles Ferrari. |
1905 |
70 dessins de Cappiello, recueil de caricatures de presse parues antérieurement, édité par H. Floury. Portraits d’Albert Emile Sorel et de Mme Lucien Mühlfeld. Affiches pour l’Anis Infernal, Portofino-Kulm, Bijoux Colin, Fleur des Neiges. |
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1906 |
Nombreuses affiches : Menthe-Pastille, Esperantine, Pneu Continental, Torrilhon, Cognac Albert Robin. |
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1907 |
Décoration de la villa de Louis Dreyfus à Saint-Germain-en-Laye. Nombreux portraits. Affiches importantes : Angélus, Triple Sec Fournier, Maurin-Quina. Il expose sa théorie de l’affiche dans Publicité Moderne.
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1908 |
Expose au Salon de la Comédie Humaine le portrait de Paul Adam, son beau-frère.
Membre du Comité d’organisation du 2ème Salon des Humoristes où il expose.
Affiches pour la Source Parot, Xéres Quina Ruiz. |
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1909 |
Expose à la Société Nationale des Beaux-Arts le Portrait de sa femme et de ses deux enfants (Musée de Livourne), puis au Salon des Humoristes.
Affiches pour Pippermint, Fernet-Branca, nombreuses affiches éditées par Vercasson en Amérique du Sud.
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1910 |
Expose à la Société Nationale des Beaux-Arts le portrait d’Henri de Régnier (musée d’Orsay).
Affiche célèbre pour Cinzano.
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1911 |
Nouveau contrat avec Vercasson.
Il fait un grand nombre d’affiches : Vittel Grande Source, Longines, Oxo, Florio et surtout le célèbre Chocolat Poulain.
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1912 |
Décore le salon de thé, le salon de lecture et le fumoir des Galeries La Fayette.
Nombreuses affiches : Marie Brizard, Le Nil, Bière du Fort-Carré, Sacha Guitry Jean III. |
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1913 |
Nombreuses affiches : Villiod, Cigarettes Bastos, Lampe Visseaux, Chaussures Unic. |
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1914 |
Quelques affiches : Exposition Internationale de Lyon, l’Eclair. |
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1915 |
Publie quelques eaux-fortes sur la guerre et collabore à La Baïonnette, au Rire et à Fontasio. |
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1916 |
Couverture de l’édition originale du Poète Assassiné d’Apollinaire.
Quelques affiches : Le Trait-d’Union Franco-Italien, Thermo-Bloc.
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1919 |
Début de sa collaboration avec Devambez.
Quelques affiches : L’Avenir, Poudre de Luzy.
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1920 |
De nouveau membre du Comité du Salon des Humoristes.
Expose au 1er Salon de la Publicité et à Beauvais au Salon de l’Affiche.
Nombreuses affiches : en particulier les Blanchisseries Franco-Américaines, Mistinguett, Robur, Cachou Lajaunie.
Décoration d’une épicerie rue Jean Goujon.
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1921 |
Gagne un procès contre la maison Chocolat Poulain qui a partiellement reproduit son affiche en la modifiant.
Nombreuses affiches pour la France et l’Italie, Bitter Campari, Café Martin, Imperméables Pirelli.
En novembre 1921, il signe un contrat d’exclusivité avec Devambez, seul concessionnaire des Nouvelles Affiches Cappiello.
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1922 |
Expose à la Biennale de Venise et à l’Institut Français à New-York des maquettes d’affiche.
Très nombreuses affiches en France et en Italie : Exposition Coloniale de Marseille, Parapluie-Revel, Restaurant Poccardi.
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1923 |
Février-mars : exposition particulière chez Devambez de l’ensemble de son oeuvre.
Affiches pour l’ouverture du Théâtre de l’Etoile, Pâtes Ferrand-Renaud, Royat.
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1924 |
Affiches pour la France, l’Italie et l’Espagne : Ricqlès, Café con Leche Iberia, Bal de la Couture Parisienne. |
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1925 |
Affiches pour Peugeot, Tana, Biscotti Wamar, L’Electrification, Studebaker. |
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1926 |
Affiches pour les cigarettes Louis Doize, l’Eau des Abatilles, La Baule. |
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1927 |
Affiches pour les cigarettes Laurens, Lane Borgosesia. |
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1928 |
Projets de décors et de costumes de ballets, d’abord pour Sacha Guitry, puis pour Leonide Massine. Autoportrait commandé par la Galerie des Offices de Florence.
Affiches pour L’Ami du Peuple, Becuwe.
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1929 |
Affiches importantes notamment pour Savora | ||
1930 |
Cartons de tapisserie pour la Manufacture Nationale de Beauvais sur le thème des perroquets. Illustre La Princesse de Babylone de Voltaire. Affiches importantes pour O Cap, Le Cuir qui marqueront une évolution dans son art de l’affiche. |
1931 | Expose ses tapisseries des Perroquets réalisées par la Manufacture Nationale de Beauvais, à l’Exposition Coloniale. Affiche très importante pour le Bouillon Kub. | ||
1932 | Expose au Salon des Humoristes dont il fait l’affiche. Affiche pour Dubonnet, Marianne. | ||
1933 |
Affiches pour le Beurre Gautier, La France de Bordeaux et du Sud-Ouest. |
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1934 |
Affiches importantes pour Bally, l’Œuvre, le Lorrain. |
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1935 |
Décoration à fresque du bar du restaurant Dupont, boulevard Barbès.
Expose au Salon des Humoristes, participe au Salon de l’Enseigne. |
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1936 |
Participe à la Triennale de Milan et à l’Exposition de l’Affiche française à Prague. |
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1937 |
La Force Motrice, décor du Pavillon de la Publicité à l’Exposition de 1937. Cappiello y est Vice-Président de la classe de publicité.
Affiches pour l’Exposition Paris 1937 et l’Accueil de la France.
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1938 |
Expose au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts une grande toile, Les Dormeuses (Musée des Beaux-Arts de Lyon).
Quelques affiches : Mossant, Semaine de l’enfance.
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1939 |
Participe à l’Exposition de l’Affiche en couleurs de Chéret à nos jours, au Conservatoire des Arts et Métiers. |
1941 |
Séries d’illustrations des poèmes de Rimbaud (inédit). |
1942 |
A sa mort, Cappiello nous laisse une oeuvre considérable qui fera l’objet de nombreuses expositions et retrospectives. |
1947 |
Retrospective au Musée des Arts Décoratifs à Paris. |
1960 |
Retrospective à la Casa della Cultura de Livourne. |
1961 |
Exposition au Palais Saint Pierre de Lyon. |
1962 |
Exposition au Musée d’Art et d’Histoire de Genève. |
1981 |
Retrospective au Grand Palais à Paris. |
1993 |
Exposition à la Fondation Mona Bismark à Paris. |
1994 |
Exposition à Saint-Rémy-de-Provence (France). |
2003
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Exposition au Musée des Beaux Arts de Lyon. |
Biography taken and completed from: ‘Les Dossiers d’Orsay – Cappiello 1875 – 1942’, p186 and 187 © Réunion des Musées Nationaux, Paris 1981, ‘Dossiers d’Orsay’
Bibliographie
En dehors des catalogues d’exposition, les principaux livres sur Cappiello sont les suivants :1946 | Jacques Viénot : « L. Cappiello sa vie et son oeuvre » ( Préface de Jean Cocteau) – Editions de Clermont. | ||
1978 | « Cappiello et la Belle Epoque » (Préface de Jacques de Lacretelle) – Editions Sciaky. | ||
2004 |
Jack Rennert : « Cappiello – The posters of Leonetto Cappiello » – Editions The Poster Art Library. |
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2011 |
Marie-Laure Soulié-Cappiello: « Cappiello – Catalogue raisonné des caricatures » – Editions Sillage. |
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2016 |
Francesca Cagianelli: « Leonetto Cappiello (1875 – 1942) Oltre L’Affiche » – Editions Libreria Universitaria. |